Bonjour Visiteur, et bienvenue dans la maison des Katharsis.
Mon nom est Hector, je suis le major d'Homme de cette humble demeure.
Permettez moi d'être votre premier contact avec notre confrérie. Vous vous trouvez actuellement dans le Hall d'entrée, les entretiens se font au premier étage.
Ici, je m'occupe de l'acceuil des visteurs, et je me charge de répondre à toutes vos
questions.
Si vous êtes ici pour intégrer notre confrérie, laissez-moi dans un premier temps vous remettre notre
charte, que je vous prierais de bien vouloir lire dans son intégralité, car dedans se trouve les conditions que la maison des Katharsis vous demandera de bien vouloir respecter.
Pendant le temps de votre visite et si vous le souhaitez, vous pourrez rester au domaine, vous aurez accès au hall d'entrée et au premier étage du manoir exception faite pour le comptoir diplomatique, qui lui, est reservé aux membres confirmés.
Si vous souhaitez postuler, sachez que la procédure d’admission peux prendre quelques jours, nous vous allouerons alors des
quartiers, que vous partagerez avec les autres postulants, n'hésitez donc pas à faire connaissance avec eux, il s'agira peut-être de vos futurs frères d'armes ; et vous pourriez y croiser des membres ou des officiers.
Bien. Je crois vous avoir tout dis, maintenant si vous le voulez bien, je vais vous conduire devant le bureau du capitaine Krathos, qui est en charge du recrutement, il ne tiendra alors qu'a vous, de pousser la porte et de déposer sur son bureau le
questionnaire qui vous a été fourni dans la
charte. Le capitaine vous convoquera après l'avoir lu, si votre profil l'intéresse.
Si vous voulez bien me suivre...
Le majordome ouvre alors la marche. Oh ! Et une dernière chose : si vous croisez la route de Dame Lys, sachez qu'il s'agit de notre Chef et de la Maîtresse du manoir.
Sur ces mots, il s'arrêta devant une porte de bois, encore ornée de quelques gravures d'antan.Voici le
bureau de recrutement.
Avec votre permission, je vais prendre congés de vous. Bonne journée.
Un léger inclinement du buste en guise de politesse et voilà qu'il s’éclipse silencieusement.